J’en parlais ici (en anglais), cette semaine j’ai repris la lecture d’une série de cinq recueils de nouvelles sur la thème de… la machine à écrire, oui la veille machine à écrire avece son clavier qui claque et sa feuille de papier. Ca s’apelle « Cold Hard Type ».
Chaque volume de la série est dédié à un thème/genre spécifique de nouvelles, post-apocalyptique, horreur, voyage dans le temps,… mais toutes les histoires concernent d’une manière ou d’une autre la bonne vieille machine à écrire. Et, oui, je suis assez vieux pour avoir appris à taper sur une de ces machines moi-même ;)
Comme je disais dans le billet original, en achetant ces bouquins je m’attendais à… pas grand-chose, quelque chose de l’ordre d’un bon fanzine enthousiaste. J’étais loin du compte. Je n’ai lu que 3 des 5 volumes à ce jour mais pour l’instant c’est presque un sans faute. Je me régale.
Celui que j’ai eu le plus de mal à lire c’est le dernier, Dead Keys dont la thématique est « horreur et fantômes », sans doute parce que ce n’est pas un genre dont je suis particulièrement amateur (je suis fan d’une poignée d’auteurs, plutôt très… atypiques). Je l’ai terminé la semaine passée, après plus d’un an sans y toucher et je suis heureux de l’avoir terminé car ça m’a permis de lire encore quelques très bonens histoires. L’une en particulier que je classe parmi mes préférées dans les 3 volumes que j’ai lu à ce jour: « The Good Fight » par David Tellet.
C’est l’histoire d’une ado qui, littéralement, chaque nuit, au lieu de pouvoir dormir tranquillement comme elle est supposée le faire avant de retourner à l’école le lendemain, est obligée de se battre contre le mal/le diable qui, sous la forme d’une brume tentaculaire, essaye de s’emparer d’elle comme elle s’est déjà emparée de sa famille et de bien du monde dans leur petite ville de province, les rendant tous méchants et tristes. Elle ne réussi à garder ce mal à distance qu’en écrivant sans répis jusque l’aube, jusqu’à l’épuisement. Bref, est à peu près au bout de forces quand elle rentre dans un magazin d’antiquité pour se trouver un nouveau stylo plume où elel fait la connaissance d’un vieux commerçant ronchon qui… non, je ne vais pas spoiler mais je peux vous dire que je suis vraiment content d’avoir repris ce bouquin que j’avais carrément abandonné, disons-le.
Là, j’ai commencé le 4ème volume (sur le voyage dans le temps), sympa lui aussi et avec déjà une autre histoire géniale, si pas deux.
Bref, un sujet de niche (la mchine à écrire) qui n’intéressera pas grand-monde, malheureusement, mais une heureuse découverte en ce qui me concerne .
Ah oui, les ouvrages sont auto-publiés par Richard Polt et sont uniquement proposés via Amazon print on demand. C’est bien, parce que ça veut dire que les frais de port seront raisonnables où que vous soyez mais c’est aussi (possiblement) moins bien parce que, ben, c’est Amazon.
Edit: si c’était pas clair, les bouquins sont en anglais.
J’en parlais ici (en anglais), cette semaine j’ai repris la lecture d’une série de cinq recueils de nouvelles sur la thème de… la machine à écrire, oui la veille machine à écrire avece son clavier qui claque et sa feuille de papier. Ca s’apelle « Cold Hard Type ».
Chaque volume de la série est dédié à un thème/genre spécifique de nouvelles, post-apocalyptique, horreur, voyage dans le temps,… mais toutes les histoires concernent d’une manière ou d’une autre la bonne vieille machine à écrire. Et, oui, je suis assez vieux pour avoir appris à taper sur une de ces machines moi-même ;)
Comme je disais dans le billet original, en achetant ces bouquins je m’attendais à… pas grand-chose, quelque chose de l’ordre d’un bon fanzine enthousiaste. J’étais loin du compte. Je n’ai lu que 3 des 5 volumes à ce jour mais pour l’instant c’est presque un sans faute. Je me régale.
Celui que j’ai eu le plus de mal à lire c’est le dernier, Dead Keys dont la thématique est « horreur et fantômes », sans doute parce que ce n’est pas un genre dont je suis particulièrement amateur (je suis fan d’une poignée d’auteurs, plutôt très… atypiques). Je l’ai terminé la semaine passée, après plus d’un an sans y toucher et je suis heureux de l’avoir terminé car ça m’a permis de lire encore quelques très bonens histoires. L’une en particulier que je classe parmi mes préférées dans les 3 volumes que j’ai lu à ce jour: « The Good Fight » par David Tellet.
C’est l’histoire d’une ado qui, littéralement, chaque nuit, au lieu de pouvoir dormir tranquillement comme elle est supposée le faire avant de retourner à l’école le lendemain, est obligée de se battre contre le mal/le diable qui, sous la forme d’une brume tentaculaire, essaye de s’emparer d’elle comme elle s’est déjà emparée de sa famille et de bien du monde dans leur petite ville de province, les rendant tous méchants et tristes. Elle ne réussi à garder ce mal à distance qu’en écrivant sans répis jusque l’aube, jusqu’à l’épuisement. Bref, est à peu près au bout de forces quand elle rentre dans un magazin d’antiquité pour se trouver un nouveau stylo plume où elel fait la connaissance d’un vieux commerçant ronchon qui… non, je ne vais pas spoiler mais je peux vous dire que je suis vraiment content d’avoir repris ce bouquin que j’avais carrément abandonné, disons-le.
Là, j’ai commencé le 4ème volume (sur le voyage dans le temps), sympa lui aussi et avec déjà une autre histoire géniale, si pas deux.
Bref, un sujet de niche (la mchine à écrire) qui n’intéressera pas grand-monde, malheureusement, mais une heureuse découverte en ce qui me concerne .
Ah oui, les ouvrages sont auto-publiés par Richard Polt et sont uniquement proposés via Amazon print on demand. C’est bien, parce que ça veut dire que les frais de port seront raisonnables où que vous soyez mais c’est aussi (possiblement) moins bien parce que, ben, c’est Amazon.
Edit: si c’était pas clair, les bouquins sont en anglais.